Le recours à l’expérimentation animale dans les projets de recherche se fait seulement quand cela est nécessaire et après validation du comité d’éthique local et du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et innovation. Les administrations et les prélèvements font partie des procédures les plus utilisées dans les protocoles. Ainsi, les acteurs de la recherche se doivent de connaître les volumes à respecter dès la mise en place de l’étude. Les comités d’éthique en expérimentation animale sont très vigilants quant au respect de ces bonnes pratiques.Julien Thévenet, ingénieur à la Faculté de Médecine de l’Université de Lille, dans le Laboratoire de « Recherche Translationnelle sur le Diabète » (Inserm 1190) est l’inventeur1 d’un outil simple qui permet de respecter les protocoles de manière strictement adaptée à l’espèce utilisée.
L’AFSTAL est une association française loi 1901, fondée en 1972, au service des personnes impliquées dans l’utilisation des animaux à des fins scientifiques pour les aider à se former, s’informer et diffuser leur savoir-faire dans ce domaine, le but étant d’adopter une conduite éthique et d’améliorer les projets in vivo.
Avec près de 23 000 étudiants, 850 enseignants et/ou chercheurs et 500 personnels administratifs et techniques, l’UFR3S forme une communauté forte et cohérente unie par un objectif commun : créer et transmettre le savoir, et construire les compétences du domaine des sciences de santé et du sport.
Trente-quatre équipes de niveau international accueillent les travaux de recherche transdisciplinaires de l’UFR3S. Ces équipes sont associées aux grands centres de recherche français : le Centre National pour la Recherche Scientifique (CNRS), l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) et l’Institut Pasteur de Lille.